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khoisan
10 août 2008

DURBAN -BERGVILLE 11 juillet

AFRIQUE DU SUD

8e JOUR : vendredi 11 juillet 2008

Durban - Bergville. 210 km  Route pour Bergville. Déjeuner libre. Découverte du Drakensberg, chaîne de montagnes aux paysages hypnotisants. Dîner et nuit au Sandford Park Lodge ou similaire

Ce matin nous avons un peu de temps libre, après un super petit déjeuner en terrasse face à la mer, avec le soleil, le vent est un peu tombé, nous partons poster notre courrier et profitons pour faire un petit tour . Les fripouilles dorment, la ville est très agréable.

Vu comme cela c’est plutôt plaisant.

Depuis la chambre 3 vues qui illustrent un peu la ville :

Tourisme et vente de produits le long du front de mer

Pauvreté

Richesse

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Hier nous n’avons pas visité le centre historique de Durban ni le marché Indien.


Départ pour les visites matinales et toutes les nuances.

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Dans le centre historique on pourrait se croire n’importe où en Europe sur une belle place.

Maison victoriennes, mairie, statues, théâtre, opéra .BRIGIITE_AFR_11_07_016 BRIGIITE_AFR_11_07_026 BRIGIITE_AFR_11_07_019  BRIGIITE_AFR_11_07_034

..pendule front de mer offerte par le gouvernement portugais en 1877 en souvenir de Vasco de Gama,

 

 

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Les larges artères de la rue sont dégagées, la ville est propre, comme partout d’ailleurs, nous arrivons dans le quartier indien.

Vue sur la mosquée et derrière la cathédrale

Marché de la viande, du poisson et …du diamant…messieurs à vos bourses ! Mais aussi les guérisseurs, ou sorciers..BRIGIITE_AFR_11_07_044  BRIGIITE_AFR_11_07_046  BRIGIITE_AFR_11_07_049  BRIGIITE_AFR_11_07_056BRIGIITE_AFR_11_07_058  BRIGIITE_AFR_11_07_059 BRIGIITE_AFR_11_07_064 

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DURBAN

Située sur le littoral au sud du tropique du Capricorne, Durban bénéficie d'un climat subtropical humide.

Démographie

Durban compte plus de 1 100 000 habitants au sein d'une métropole de près de 4 millions d'habitants dont 68,5% de noirs, 20% d'indiens et 9 % de blancs et 2,5% de métis..

La majorité des habitants sont de langue maternelle zoulou, suivies par les minorités de langue anglaise, afrikaans et hindi.

Histoire

Le 25 décembre 1497, le navigateur portugais Vasco de Gama accosta dans un port naturel sur la côte africaine au bord de l'océan indien. Il nomma cette côte « natal » et le port naturel « Rio De Natal » rebaptisé plus tard Port-Natal.

En 1823, Henery Fynn, un marchand britannique, obtient du roi zoulou Shaka l'autorisation d'établir un établissement commercial permanent à Port-Natal.

En 1835, Port-Natal est rebaptisé Durban en l'honneur du gouverneur de la colonie du Cap, Sir Benjamin d’Urban.

La région fut définitivement annexée à la colonie du Cap en 1844.

À la fin des années 1800, le port de Durban connut un développement économique considérable faisant de cette ville la véritable capitale économique du Natal. Des milliers d'Indiens et d'Asiatiques débarquèrent à Durban à partir de 1855 pour venir travailler dans les champs de canne à sucre.

Cette population indienne se fixa à Durban.

Ville anglophone, libérale, indienne et zoulou durant tout le XXe siècle, la ville éclipsa toutes ses rivales d'Afrique sub-saharienne pour devenir le plus grand port du sous-continent ainsi qu'une destination touristique très prisée des habitants du Transvaal.

Dans les années 90, Durban supplante Le Cap comme seconde plus grande ville d'Afrique du Sud en nombre d'habitants derrière Johannesburg.

En 2001, la ville accueille la Conférence sur le racisme organisé par l'ONU

Industrie

Durban (officiellement Durban-Pinetown) est fondée en 1835, sous le nom de Port Natal, par des colons britanniques. Son essor économique remonte à l’ouverture, à la fin du xixe siècle, d’un chenal profond donnant accès aux bateaux de grande taille, ainsi qu’à la découverte de gisements aurifères dans le Witwatersrand (soulèvement rocheux du nord-est Connu aussi sous le nom de Rand, c'est la première région du monde pour la production d'or. Le soulèvement fait environ 100 km de long dans la direction est-ouest pour une largeur maximale d'environ 40 km, et il domine de plus de 600 m le plateau environnant)

Durban est le plus grand centre portuaire de l'Océan indien et le plus grand port d’importation et d’exportation d'Afrique du Sud. En 2004, son port avait ainsi traité 1,6 million de conteneurs EVP. Située dans une région où sont cultivés de grands champs de canne à sucre, Durban est ainsi le plus grand port sucrier au monde.

Elle est aussi une ville industrielle réputée pour ses raffineries de sucre, son industrie textile et ses usines de fabrication de peintures, de savon et de conserveries.

La ville exporte des minerais (charbon, manganèse, chrome), des céréales, de la laine et du sucre, et possède des industries variées (constructions mécaniques, ateliers de réparation ferroviaire, chimie, pétrole raffiné, textile, agroalimentaire).

Tourisme

Si la ville souffre d'une très forte criminalité qui a explosé dans les années 90, Durban reste le centre d’une région balnéaire et touristique qui s’étire sur 500 km de côtes.

Les principaux sites touristiques que nous découvrirons lors de notre séjour à Durban

  • le Waterfront (Golden Mile), promenade longeant la mer sur plus d’un kilomètre, bordée d'hôtels, de restaurants et de parcs d’attractions,

  • l’aquarium et le delphinarium,

  • uShaka Marine World,

  • l'hotel de ville (1910) copiée sur celui de Belfast, dans lequel est situé le "Durban Museum" consacré à l’histoire naturelle du Natal (dont un squelette complet de dodo) et du pays Zoulou,

  • les statues coloniales de Francis Farewell Square (dont celle de la reine Victoria,

  • Le marché indien

  • l'horloge Da Gama, sur Victoria Embankment, offert par le gouvernement portugais en 1877 en souvenir de Vasco de Gama,

  • la mosquée Juma, l’une des plus grandes mosquées de l’hémisphère Sud,

  • la cathédrale Emmanuel (1904),

Nous sommes à 170 km de Cap Town par la nationale 2 . Par les airs il faudrait 2 h 15.

A la sortie de la ville à l’ouest , un superbe centre commercial (les plans ont été inversés par l’architecte avec un projet pour le canada pour la petite histoire)

Logements sociaux (boites d’allumettes construites en 1994)

Elevages de chevaux (vente au proche orient, Arabie saoudite, Angleterre..), jeux de polo, courses hippiques

Paysage vallonné, élevages de poulets

Sur la nationale 3 Pietermaritzburg ,

 capitale de la province du KwaZulu-Natal depuis 2004 (choix imposé par le nouveau gouvernement ANC de la province).

 Elle est familièrement appelée tout simplement "Maritzburg" ou encore sous ses initiales de "PMB". Au temps de l'Empire zoulou, le site de la future ville de Pietermaritzburg était un lieu-dit appelé "Umgungundlovu" (place des éléphants)

Fondée en 1838 par les Voortrekkers, à la suite de la bataille de Blood River, Pietermaritzburg porte le nom des chefs boers Piet Retief et Gert Maritz, tués peu de temps auparavant par les ZOULOUS 

En 1879, le jeune prince impérial, Louis-Napoléon, fils de Napoléon III, officier de l'armée britannique est stationné à Pietermaritzburg. Il vient ainsi remercier l'hospitalité de la Reine Victoria en venant combattre les zoulous au sein de l'armée britannique. Il est tué par les zoulous au cours d'une reconnaissance après une résistance héroique mais vaine.

C'est à Pietermariztburg que le futur Mahatma Gandhi, (Avocat ayant fait ses études de droit en Angleterre, Gandhi développa une méthode de désobéissance civile non-violente en Afrique du Sud, en organisant la lutte de la communauté indienne pour ses droits civiques alors avocat indien), est expulsé du train dans lequel il voyageait parce qu'il n'était pas blanc et qu'il voyageait en première classe. Aujourd'hui, une statue en bronze de Gandhi trône sur Chuch Street au centre-ville

La ville compte 230 000 habitants et fait partie de la nouvelle municipalité de Msunduzi qui compte 600 mille habitants (75% noirs).

Bien que fondée par des boers, Pietermarizburg est d'architecture victorienne et présente un véritable intérêt touristique et historique pour ceux qui sont intéressés par les guerres anglo-zoulous et anglo-boers. C'est une ville agréable, commerçante possédant plusieurs rues piétionnières animées. En 1909, le collège universitaire du Natal est fondé. En 1922, il absorbe l'institut technique de Durban. En 1949, les deux entités forment la nouvelle Université du Natal, bastion de l'opposition libérale au gouvernement d'apartheid et une des premières universités à s'ouvrir aux noirs.

En 2004, l'Université du Natal fusionne avec l'Université de Durban-Westville pour devenir l'Université du KwaZulu-Natal.

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Nous n’avons pas fait d’arrêt dans cette ville,….on ne peut pas tout visiter en 15 jours !

Nous continuons notre route vers HOWICK sur la route 103 environ 30 km de Durban.

Nous remontons vers le Drakensberg.

Des blancs…les nez pointus est leur surnom…église anglicane.

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Petite ville calme à + 900 mètres d’altitude, au climat agréable.(environ 15 °)

De nombreux retraités aisés, viennent s’installer dans cette ville, cascade d’eau, antiquaire, musée artisanat, restaurants quelle quiétude après la grande ville !   Mais aussi les plus pauvres, plus éloignés, les femmes viennent faire la lessive au bord de l'eau

 ne pas oublier la lutte contre le sida impressionnant dans ce site naturel

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Plus on remonte et plus le paysage est sec.

Nous avons dépassé les champs de mais, blé, soja, arachide

Passage d’un nouveau barrage, nous allons en direction de MOOI RIVER PAZA, route 103, ville d’emplois ruraux pour les townships environnants.

Puis nous bifurquons sur la route 74 Wintertown

Les grands plateaux font suite aux champs, avec les élevages. BRIGIITE_AFR_11_07_159

 

Les constructions traditionnelles sont plus basses en terre et bois sous l’influence du Lesotho voisin juste à l’arrière de la montagne. Il n’y a pas de ville frontière de ce côté.

 

Ici il neige souvent en hiver. Comme les habitants du Lesotho la population porte souvent une couverture. Au plus bas nous sommes à 1500 mètres.

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Notre étape s’achève pour aujourd’hui, puisque nous arrivons à BERGVILLE.

Sur le chemin, notre guide nous indique un cerce le pierres blanches : c'est une église

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Charmant cottage au bord d’un plan d’eau au milieu de la campagne.

Bonne ambiance en soirée au Pub…avec un match de rugby.

Mais il fait très très froid…pratiquement pas de chauffage dans la chambre , mais de bonnes couvertures, ce doit être fort agréable en été!!!

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   Vite au lit sous la couette après un « porto.. »

 

Mouvements de droit civil en Afrique du Sud (1893-1915)

Gandhi en Afrique du Sud (1895)

Gandhi en Afrique du Sud (1895)

À ce point de sa vie, Gandhi est un individu doux, timide et politiquement indifférent. Il avait lu son premier journal à 18 ans et était sujet au trac lorsqu'il devait parler au tribunal. L'Afrique du Sud le change de manière spectaculaire quand il doit faire face à la discrimination qui est faite envers les Noirs et les Indiens dans ce pays. Diverses anecdotes, rapportées d'abord par Gandhi au titre d'« expériences de vérité », méritent d'être racontées pour comprendre l'évolution intérieure de Gandhi à cette période de sa vie.

Un jour à la cour, dans la ville de Durban, le magistrat lui demande d'enlever son turban. Gandhi refuse et est expulsé hors du tribunal. Dans un autre incident, il se fait jeter hors d'un train à Pietermaritzburg, après avoir refusé de passer du wagon de première classe à celui de troisième alors qu'il possède un ticket valide de première classe. Plus tard, voyageant en diligence, il est battu par un conducteur parce qu'il refuse de voyager sur le marchepied pour faire de la place à un passager européen . Il a beaucoup d'autres difficultés lors de ce voyage, comme de voir son admission rejetée dans de nombreux hôtels à cause de sa couleur de peau.

Ces incidents ont été décrits par plusieurs biographes comme un tournant de sa vie et ils lui servirent ensuite de catalyseur pour son militantisme. C'est en étant témoin direct de l'intolérance, du racisme, des préjugés et de l'injustice contre les Indiens d'Afrique du Sud que Gandhi commence à réfléchir au statut de son peuple et à sa propre place dans la société. Gandhi réagit par de premières protestations et obtient que les Indiens correctement habillés aient droit de voyager en première classe.

Gandhi durant la guerre des Boers (2e rang, 3e en partant de la droite).

Gandhi durant la guerre des Boers (2e rang, 3e en partant de la droite).

À la fin de son contrat, Gandhi se prépare à rentrer en Inde. Cependant, lors d'une fête d'adieu en son honneur, il apprend que l'assemblée du Natal préparait une loi pour interdire le droit de vote aux indiens. Ses hôtes lui demandent de rester pour les aider car ils n'avaient pas les compétences pour s'opposer à ce projet de loi. Il fait circuler plusieurs pétitions contre la loi adressées au gouvernement du Natal et au gouvernement britannique. Bien qu'incapable d'empêcher le vote de cette loi, cette campagne permet d'attirer l'attention sur les difficultés des indiens en Afrique du Sud. Convaincu de rester par ses partisans, il fonde alors le Natal Indian Congress en 1894, prenant lui-même le poste de secrétaire. Cette organisation transforme la communauté indienne en une force politique homogène, publiant des preuves de la ségrégation britannique en Afrique du Sud.

Gandhi revient brièvement en Inde en 1896 pour ramener sa femme et ses enfants vivre avec lui en Afrique du Sud. À son retour en janvier 1897, il est attaqué par une foule de Sud-africains blancs qui essayent de le lyncher .

Une première indication des valeurs qui donneront forme à ses futures campagnes est son refus de porter plainte contre ses assaillants, en précisant que c'était un des ses principes de ne pas résoudre des problèmes personnels devant une cour de justice.

Au début de la guerre des Boers, en 1899, Gandhi déclare que les Indiens doivent soutenir l'effort de guerre s'ils veulent légitimer leur demande de citoyenneté. Il organise un corps d'ambulanciers volontaires de 300 Indiens libres et de 800 coolies indiens appelé le Indian Ambulance Corps, une des rares unités médicales qui secourait les Sud-africains noirs. Gandhi lui-même est porteur de civière à la bataille de Spion Kop, et est décoré. Malgré tout, à la fin de la guerre, la situation des Indiens ne s'améliore pas, et continue même à se détériorer.

Gandhi et sa femme Kasturba (1902)

Gandhi et sa femme Kasturba (1902)

En 1904, après avoir fondé le journal Indian opinion, la lecture de Unto This Last de John Ruskin, l'influence profondément et pousse Gandhi à changer radicalement de vie. Il rachète peu après l'établissement Phoenix, qui devient la Tolstoï farm, où tous les rédacteurs du journal participent aux travaux agricoles et reçoivent le même salaire sans distinction de métier, de nationalité ou de couleur de peau. Il commence la pratique du jeûne, arrête de consommer du lait, coupe ses cheveux lui-même et nettoie ses latrines (travail réservé aux intouchables en Inde) et incite sa femme et ses amis à faire de même .

En 1906, le gouvernement du Transvaal vote une nouvelle loi demandant l'enregistrement de toute la population indienne. Lors d'une rencontre de protestation à Johannesburg le 11 septembre 1906, Gandhi adopte pour la première fois sa méthodologie du satyagraha (attachement à la vérité), ou protestation non violente, en appelant ses compagnons indiens à défier la nouvelle loi et à subir les punitions qui en résulteraient au lieu de résister par la violence.

Ce plan est adopté, ce qui mena à une lutte de sept ans dans laquelle des milliers d'Indiens et de Chinois sont emprisonnés (incluant Gandhi lui-même en de nombreuses occasions), fouettés ou même abattus pour avoir fait grève, refusé de s'enregistrer, brûlé leur carte d'enregistrement ou avoir résisté de manière non violente. C'est durant cette période que Gandhi entame une correspondance avec Léon Tolstoï, et ils échangent leurs vues sur la non-violence et la politique globale jusqu’à la mort de l’écrivain russe . La désobéissance civile culmine en 1913 avec une grève des mineurs et la marche des femmes indiennes.

Bien que le gouvernement sud-africain réprime les manifestants indiens avec succès, l'opinion publique réagit violemment aux méthodes extrêmement dures employées contre les manifestants asiatiques pacifiques. Finalement le général Jan Christiaan Smuts est forcé de négocier un compromis avec Gandhi. Les mariages non chrétiens redeviennent légaux et une taxe de trois livres qui représentait six mois de salaire, imposée aux indiens qui voulaient devenir des travailleurs libres (c'est-à-dire les coolies), est abolie .

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sources : http://fr.wikipedia.org/

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